Que celles et ceux qui aiment les œuvres de Santiago Calatrava, l'architecte espagnol, et celles de Daniel Buren, l'artiste français, prennent le train avec nous pour Liège ! Terminus : la gare de Liège elle-même.
- Daniel Buren Artiste plasticien
- David Montfort Administrateur du Bureau d'études Greisch
- Sébastien Charlier Historien à l'Université de Liège
- Stephan Uhoda Mécène et chef d'entreprise
Construite par l'architecte espagnol et livrée en 2009, l'immense gare de la petite ville belge est désormais couverte de couleurs aux ombres magnifiques grâce à l'artiste français. Un bâtiment imposant, exceptionnel, ces deux mots conviennent très bien à ce lieu recouvert d'une gigantesque voûte en verre, qui pourrait presque être intimidant. S'il ne l'est pas en définitive, c'est grâce aux jeux de lumières changeantes qui éclairent la gare.
En remportant le concours international d'architecture lancé par Euroliège TGV, l'architecte des ponts et des gares Santiago Calatrava a voulu jouer d'emblée avec les couleurs, parce qu'on est dans "le plat pays avec son ciel si bas qu'il fait l'humilité, son ciel si gris qu'il faut lui pardonner". Calatrava lui aussi connaît la chanson de Brel par cœur, mais il sait aussi que la Belgique est un pays de grands peintres. Fasciné par les lumières du ciel, il s'en est inspiré pour concevoir cette gare du début du XXIème siècle.
Tewfik Hakem rencontre Daniel Buren, artiste plasticien auteur de l'œuvre in situ "Comme tombées du ciel, les couleurs in situ et en mouvement" sur le toit de la gare de Liège. Avec David Monfort, administrateur du Bureau d'études Greisch, Sébastien Charlier, historien à l'Université de Liège et Stephan Uhoda, mécène et chef d'entreprise.
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